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Le Milieu du Grand Banditisme Français

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lunik-parrain

Description :

Claude le Gros, Francis le Belge, les Gazianni, les Guérini, les Zemmour, Boualem Talata, Jacky le Mat, Tany Zampa, les Hornec, Marc Monge, Paul Mondoloni, Jo Renucci, Paulo Leca, Ahmed Otmane, Karim Reguig, Paul Carbone, François Spirito...

Pas tout le Milieu, mais de quoi en savoir un minimum sur certaines personnes qui ont écrite des pages importantes d'un livre qui n'est pas près de se refermer. Un livre fait d'amitiés et de trahisons, de guerres fratricides et d'affrontements claniques, de violence et de règlements de compte, d'armes et d'argent sale, de strass et de paillettes, de luxe et de prison, de gros voyous et de "beaux mecs", de caïds et de seconds couteaux, de parrains et de juges de paix, de plaisir et de regrets... de beaucoup de regrets...

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PARIS (75), centre historique du Milieu

PARIS (75), centre historique du Milieu

Paris. La ville où tout le Milieu français a toujours voulu se faire une place. Un peu moins depuis quelques années, mais bon. On y a trouvé des types de la banlieue, des Lyonnais, des Marseillais, des Corses, des Pieds-Noirs... À vrai dire, les voyous venant de la ville même ne sont pas si nombreux. Il y a bien eu ceux de Belleville en son temps, et aujourd'hui des types du 20e (St Blaise, le quartier des Amandiers dit La Banane), 13e (place Souham) et 19e arrondissement qui se distinguent dans la came, mais c'est tout.

Autrefois Montmartre (18e et nord du 9e) concentrait la plus grosse communauté de bandits de Paris, les coins autour de la Porte Saint-Denis et de la Porte Saint-Martin (dans le 10e) étant eux aussi de hauts-lieux du proxénétisme. On y comptait dans les années 30 presque un règlement de compte par semaine. Mais la prostitution ayant peu à peu été délaissé par le Milieu, c'est plutôt vers les quartiers chics des Champs-Elysées et de L'Étoile (8e) que se sont déplacés les enjeux (même si cela reste minoritaire). En 70 ans, rien n'a vraiment changé : il s'agit d'ouvrir un bar ou une boîte, de contrôler des discothèques, de racketter à droite à gauche... ce à quoi il faut rajouter les machines à sous. Mais la concentration sur Paris même est moins évidente, ces messieurs préférant désormais investir en banlieue. Reste néanmoins quelques grosses pointures qui ont du mal à se défaire du climat parigot intra-muros, tandis que les autres s'y rendent surtout histoire de dilapider l'argent si durement gagner à coup de braquos ou de kilos de coke.
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#Posté le lundi 28 septembre 2009 15:52

Modifié le jeudi 01 octobre 2009 12:47

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Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.94.194) si quelqu'un porte plainte.

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grwastqz, Posté le lundi 20 mai 2013 23:26

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Ant20, Posté le lundi 19 mars 2012 08:08

Avant tout, Bravo pour ton blog. J'aurais une question. Dans ton article sur les Zemmour tu parles des frères Panzani, les parrains corses de Pigalle à l'époque (années 70). Apparemment ils ont survécus à la "guerre des jeux" contre les Zemmour puisque la fusillade du "bar laetitia" en 1975, n'a fait que blesser l'un des deux frères. Est-ce qu'on sait ce qu'ils sont devenus après 1975 ? Car on n'entend plus parler d'eux après.


il vole 6 millions deuros avec 1 simple mai, Posté le vendredi 22 avril 2011 11:07

Il vole 6 millions d’euros avec un seul mail !
Info rédaction, publiée le 18 avril 2011
10 commentaires
http://www.zigonet.com
Un simple e-mail peut rapporter gros
Un simple e-mail peut rapporter gros

Un homme a arnaqué le groupe d’édition Condé Nast de 6 millions d’euros, en envoyant un simple e-mail.

Condé Nast est un groupe d’édition connu pour les magazines qu’il édite à travers le monde, tels que Vogue, Glamour, Allure ou encore le New-Yorker. Récemment, un arnaqueur débrouillard a réussi à soutirer 6 millions d’euros (8 millions de dollars) à la firme, simplement en envoyant un mail !

Un simple mail, mail "d’autorisation de paiement électronique"

La partie inquiétante de l’histoire réside dans la facilité avec laquelle l’opération s’est effectuée. Début novembre, Condé Nast a reçu un mail "d’autorisation de paiement électronique" dans ses bureaux de New York. Le formulaire était au nom de Quad Graph, faisant penser à Quad/Graphics Inc., une société qui imprime des magazines. Il demandait à Condé Nast des paiements directs vers le compte dont les coordonnées étaient fournies. Cette dernière a rempli le formulaire et l’a renvoyé, effectuant des virements réguliers. Ainsi, plus de 6 millions d’euros (8 millions de dollars) ont été transférés les mois suivants.

Ce n'est que le 30 décembre, soit deux mois plus tard, qu'un courrier de la part de Quad/Graphics a mis la puce à l’oreille de Condé Nast : ceux-ci demandaient pourquoi ils n’avaient reçu aucun paiement depuis mi-novembre. Selon le blog Forbes, la société a alors appelé les Services Secrets, qui ont détecté la fraude électronique. Les investigateurs ont très vite pu découvrir que l’argent avait été redirigé vers le compte d'un dénommé Andy Surface, 57 ans. Celui-ci avait ouvert fin septembre à la BBVA Compass Bank au Texas, se faisant passer pour le propriétaire de Quad/Graphics, documents officiels factices à l’appui.

Une grande partie du butin retrouvée

Heureusement, les deux possesseurs de Condé Nast, Si et Donald Newhouse, ont eu la chance de retrouver une grande partie du butin. L’argent avait séjourné dans deux comptes : celui contenant la plus grosse somme était sur celui de Quad Graph. L’autre compte concerné était au nom d’Andy Surface, qui possédait également le premier. Heureusement pour les victimes, tous les fonds que le malfaiteur avait prévu d’expédier au Niger étaient encore dans les comptes !
Sur ce thème : internet, mail, états unis
http://www.zigonet.com/arnaque/il-vole-6-millions-d-euros-avec-un-seul-mail_art21776.html


fattony20, Posté le dimanche 27 mars 2011 14:59

La famille Haussmann c'est un groupe de rap, rien à voir avec le milieu.


paname, Posté le samedi 26 mars 2011 20:39

LOL c'est quoi ces merdes ?
Tu parles de bandes de cité ou de vrai mafia organisés qui rackettent énormément de tunes.
En terme de bandes de cité / de potes, les voyous de Paris y habitent pour la bonne majorité et y'a beaucoup plus que les 3-4 quartiers que ta dit dans l'article.
Après les mafias organisées j'en sais rien.. mais il me semble qu'il y'a la famille haussmann du 19e qui fait un peu de bruit.


MAFIA FRANCAISE, Posté le dimanche 20 mars 2011 13:08

15/05/2006
La mafia française, " bonne fille " de la République et du Pouvoir politique ? Illustration : l'assassinat du juge Michel, celui qui allait révéler les secrets de Marseille..!

Après le post intitulé : " La mafia dirige-t-elle l'Union Européenne..? " ( pour voir ce post, cliquez, ici ), où M. François d'Aubert nous décrit si bien, la main mise de la mafia sur l' Europe et ses " institutions ", et cet autre post : " l'assassinat de la députée Yann Piat ", que fort étrangement, certains qualifient de " fable et roman diffamatoires ", couverts curieusement par le " secret-défense " ( pour voir le post, cliquez, ici ), nous démontrant une " collaboration " indiscutable de certains hommes du Pouvoir, avec la mafia, nous poursuivons nos investigations, avec l'assassinat du juge Michel, à Marseille.

TRAFIC des grâces médicales... Filières de la drogue... Mafia sicilienne et française... Massacre du Bar du téléphone... Guerre des polices..! Ce livre d'Alain Laville " LE JUGE MICHEL ", edit. Presses de la Cité , " Pourquoi est mort celui qui allait révéler les secrets de Marseille ", parmi lesquels secrets, les plus intéressants, sans doute, ceux des " relations " de la politique avec la mafia française, après l'assassinat du juge Renaud à Lyon, et pressentant celui de la députée Yann Piat, dans le Var, qui allait survenir quelques années plus tard, il nous met en garde sur la dérive mafieuse de certains politiques qui n' hésitent pas à employer les " grands moyens " et expédients, pour acquérir et conquérir le Pouvoir, d'une part, puis, ensuite, le.." conserver ", coûte que coûte..!

" 12 heures 49. Le 21 octobre 1981. Boulevard Michelet à Marseille. Un tueur à moto exécute le juge Pierre Michel de trois balles de 11.43. Un an plus tard ni son assassin ni, surtout, le commanditaire du crime n'ont été arrêtés. Comme dans l'affaire de l'assassinat du juge Renaud à Lyon, faute de preuves, ils ne seront jamais inculpés.

Alain Laville a mené l'enquête, remontant les filières, interrogeant en France et en Italie plus de 400 personnes ayant approché le juge Michel et ses dossiers. Une longue enquête de neuf mois, dangereuse et difficile, dont il publie, malgré menaces physiques et mises en garde, les résultats explosifs assortis de documents confidentiels.
Alain Laville révèle :

-- Pourquoi et comment le juge Michel venait d'inculper un des plus gros financiers du trafic de l'héroïne, frère d'un conseiller municipal de Gaston Defferre à la mairie de Marseille, proche de députés socialistes.

-- Pourquoi et comment le juge Michel allait, à travers ce dossier et ses informations personnelles, interroger et inculper l'un des maîtres du crime organisé, parrain intouchable de 48 ans, " l'oeil de la Mafia sicilienne en France ".

-- Pourquoi et comment il comptait pour y parvenir sur un ultime interrogatoire le jour de sa mort, à 14 heures 30...
Alain Laville donne ainsi la principale clé de l'assassinat du juge Michel. Il révèle aussi :

-- Pourquoi et comment le juge Michel était sur le point de dénoncer un vaste trafic de libertés médicales, réservées aux truands fortunés, mettant en cause un avocat marseillais, des médecins et de hautes personnalités de l'administration pénitentiaire.

Avec ce document écrit comme un roman, où aucun nom n'est caché, Alain Laville a voulu rendre hommage au juge Michel. Et essayer de faire en sorte que l'histoire du crime ne se répète pas, qu'il n'y ait pas, après Renaud et Michel, un troisième juge assassiné en France, que l' Etat, comme le désirait de toutes ses forces le juge Michel, s'attaque enfin au crime organisé. "

15/05/2006 dans Marseille, le juge Michel, la mafia Française au coeur du Pouvoir politique..? | Lien permanent |
http://clamartcity.blogs.com/clamartcityweblog/marseille_le_juge_michel_la_mafia_franaise_au_coeur_du_pouvoir_politique/


La mafia chinoise infiltre la France tous azimuts, Posté le dimanche 20 mars 2011 13:03

La mafia chinoise infiltre la France tous azimuts

LE 2004/11/15 | 2011 CHINE INFORMATIONS
27
ShareUn rapport du Bureau international du travail révèle que les organisations criminelles chinoises prennent pied en France en exploitant les clandestins. Restauration, confection, prostitution : cette économie souterraine s'attaque à de nombreux secteurs.
C'est un monde secret, une société invisible, difficile à décrypter pour qui ne connaît pas ses codes. Depuis plusieurs mois, policiers, politiques et organisations internationales s'inquiètent du développement d'activités criminelles qui prospèrent sur l'immigration clandestine chinoise en France et en Europe. Un rapport du Bureau international du travail (BIT), agence spécialisée de l'ONU, décortique cette économie souterraine dont les migrants chinois, exploités par des réseaux mafieux, sont les premières victimes.

Le racket, le travail forcé dans la confection ou dans la restauration y sont monnaie courante. Les méthodes musclées ne font pas peur aux mafieux. Ainsi, en 2003, l'épouse d'un maroquinier et sa fille de 9 ans ont été assassinées dans le XX e arrondissement de Paris. Peu avant, à Vitry (Val-de-Marne), un couple de commerçants et leur fils de 31 ans avaient été torturés et tués. Un restaurateur de Corbeil (Essonne) avait été aussi battu à mort.

Des racketteurs ont par ailleurs été arrêtés en Seine-Saint-Denis. Un deuxième rapport, toujours du BIT, enrichi de témoignages d'élus, d'inspecteurs du travail, de fonctionnaires du ministère de l'Intérieur et de la Justice française sera publié ces prochaines semaines.

Main-d'oeuvre bon marché. En janvier dernier, la Chine et la France ont toutefois signé un premier accord pour lutter contre ces filières d'immigration clandestine et ces mafias criminelles. Différence de culture, barrage linguistique, les résultats sont encore balbutiants. « Il y a une hypocrisie générale, car sans ces petites mains le secteur de la confection s'effondrerait », estime un banquier parisien. Le BIT relève ainsi qu'une main-d'oeuvre chinoise flexible et sans protection sociale est employée dans des ateliers de confection ou dans des « appartements raviolis » (où sont fabriqués des plats chinois destinés à la restauration) situés à Paris ou dans les grandes villes françaises. Selon le rapport, leur travail est régi par la règle des trois « D » : « dangereux, difficile et dégradant ». Certains clandestins, rêvant d'un avenir plus radieux, reviennent brutalement sur terre : « Nous travaillons comme des boeufs, mangeons comme des porcs et dormons dans des cages à poules », décrivent-ils. Une triste réalité qui ne doit cependant pas être élargie à toute la communauté chinoise en France : « Il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac, modère Lin Yang, président de l'association des Chinois de France. Nous sommes en général très ouverts et bien intégrés. » « Vrai, note un policier, les dirigeants de la communauté collaborent avec nous pour éliminer les canards boiteux. »

Réseaux organisés. Les filières mafieuses ont mis en place une économie parallèle qui profite de cette main-d'oeuvre. Un business lucratif. Les sociétés et le patron sont déclarés, mais un certain nombre de travailleurs ne l'est pas. La fabrication des produits s'effectue dans de discrets pavillons, loin des sociétés implantées en centre-ville. « Les responsables de ces commerces ne paient pas les taxes et ne satisfont pas aux règles d'hygiène », souligne le BIT. En 2000, un patron d'entreprise textile chinois, entendu par l'Office central de répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi des étrangers sans titre (OCRIEST), a avoué des bénéfices de 686 000 € sur 18 mois... non déclarés. Cet argent qui échappe au fisc transite parfois vers une tontine (une cagnotte commune) et repart en Chine pour être blanchi. Et de là-bas, d'autres trafics sont organisés pour inonder les pays riches, comme la fabrication de faux médicaments, le Viagra par exemple.

Démantèlement difficile. La lutte contre cette économie souterraine protéiforme (traite humaine, travail non déclaré, trafics en tout genre) se révèle difficile. Les enquêteurs du groupement d'intervention régional de Paris (GIR) se sont intéressés au rachat de petits commerces parisiens, notamment dans le XI e arrondissement, où l'origine des fonds reste obscure. « L'efficacité des sanctions contre le travail illégal prises par la France, note le BIT, reste encore à prouver. Car malgré cet arsenal répressif, le nombre de travailleurs chinois clandestins sans papiers en France a augmenté très sensiblement. »


François Vignolle - Leparisien.com
Daweide
http://www.chine-informations.com/actualite/la-mafia-chinoise-infiltre-la-france-tous-azimuts_2955.html


mafia israelienne, Posté le dimanche 20 mars 2011 12:49

La guerre des mafias
Par YAAKOV LAPPIN ET JPOST.FR
07.09.10

Un homme à moto a tenté d'assassiner Charlie Aboutboul, l'une des grandes figures du crime organisé. Selon la police, cet incident s'inscrit dans une véritable guerre des mafias.



Photo: Chaine 10 , JPost
Aboutboul est le chef présumé du "clan Aboutboul" de Netanya. L'homme était au volant de sa voiture, près de l'hôtel Carmel, lorsque le motard a ouvert le feu. Il n'a pas été blessé.

L'enquête sur cette affaire est menée par l'unité Lahav 443, une unité de police d'élite spécialisée dans le crime organisé. Selon eux, le tireur appartiendrait à une famille rivale.

Aboutboul avait été sévèrement blessé en septembre 2008. Son frère Felix a été tué par balle, en 2002, à la sortie de son propre casino. Asi, son fils, anciennement à la tête de cette famille du crime, a été condamné à 13 ans de réclusion sous le coup de nombreux chefs d'inculpation.

En août, Charlie Aboutboul avait été arrêté puis relâché, faute de preuves, pour l'assassinat d'Eyal Sofer, l'associé supposé d'une autre famille du crime. En juillet, une grenade lancée dans le restaurant Bat Haikar, détenu par la famille Aboutboul, n'avait fait aucun blessé.

Peu de temps avant cette attaque, des pyromanes avaient mis le feu à trois établissements appartenant tous à la chaîne de restaurants de Francois Aboutboul.

http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1282804791745&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull


Le service de lutte anti-mafia, Posté le dimanche 20 mars 2011 11:57

Le service de lutte anti-mafia
Mis à jour le : 28/01/2011 13:27

Pour mieux lutter contre les mafias, la direction centrale de la police judiciaire a mis en place un service, commun à la police et à la gendarmerie. Objectifs du SIRASCO : recueillir, centraliser et analyser les informations sur la criminalité organisée en France.
Quelle est l'influence des triades chinoises en France ? De quelles manières les mafias transnationales russes, géorgiennes, italiennes, roumaines ou bulgares gangrènent-elles l'économie ? Quelle est la physionomie de la criminalité organisée dans l'Hexagone et quelles sont les principales menaces qu'elle fait peser sur la sécurité ? C'est pour tenter de répondre à ces questions qu'a été créé, en 2009, à la direction centrale de la police judiciaire, le service d'information, de renseignement et d'analyse stratégique de la criminalité organisée (SIRASCO). Né d'une volonté politique forte, notamment de celle du ministre de l'Intérieur, le SIRASCO est un service commun à la police et la gendarmerie, dont la vocation est de mettre un terme à l'éparpillement des informations et de développer la détection et l'analyse des phénomènes mafieux.

Ils sont actuellement une quinzaine, policiers de la PJ, gendarmes, mais aussi policiers de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et de la direction régionale de la police judiciaire de Paris.
Leur objectif : centraliser, analyser et diffuser un maximum d'informations sur la criminalité organisée en France. « Pour lutter contre les organisations criminelles, nous devons développer une politique d'intelligence, au sens anglo-saxon de renseignement, explique Dimitri Zoulas, commissaire principal et chef du SIRASCO. Notre connaissance des organisations criminelles est empirique, elle doit devenir systémique : la connaissance des organisations criminelles augmente l'efficacité de l'action répressive. Nos informations proviennent de tous les services. »

Mais la police n'est pas la seule à disposer de renseignements sur le sujet. Tous les trimestres, tout ce que l'administration compte de spécialistes en criminalité organisée se retrouve à l'occasion d'une réunion interministérielle organisée par le SIRASCO. Policiers et gendarmes des directions spécialisées et des offices centraux, agents de la DGSE, douaniers, police de Monaco, bureau du renseignement pénitentiaire, Tracfin, pôle de Zagreb pour la criminalité organisée dans les Balkans, y échangent des informations. « L'objectif est d'identifier des tendances, de comprendre des phénomènes, de détecter de nouvelles menaces, mais aussi d'échanger des informations très opérationnelles en décloisonnant les renseignements. »

Le SIRASCO produit donc différents documents, stratégiques pour les décideurs, opérationnels pour les services d'enquête. Son rapport annuel dessine la physionomie de la criminalité organisée en France. Les informations échangées lors des réunions interministérielles font l'objet de synthèses. Enfin, alimenté par les services opérationnels et les échanges internationaux, le SIRASCO rédige des notes sur des sujets très ciblés, vertes pour l'analyse stratégique, blanches pour les informations opérationnelles. Des investissements chinois suspects dans les PMU aux proxénètes bulgares en passant par les trafics de stupéfiants, le SIRASCO décortique les groupes criminels, comme par exemple l'implantation des clubs de motards criminalisés appartenant aux Hells Angels, Outlaws et autres Bandidos, originaires des États-Unis qui ont essaimé partout en Europe. « Il y a actuellement une trentaine de clubs en France, souligne Philippe Colin, commandant de police au SIRASCO. Cette situation correspond à celle de l'Allemagne il y a dix ans. Ces clubs y sont en voie d'interdiction car ils se livrent à des guerres de territoires.

Au Danemark, les chapitres [NDLR : clubs de motards] s'entre-tuent avec les gangs de rue. » Face à ces menaces, les Européens, à l'image de l'agence britannique du crime organisé (SOCA) ou du centre d'intelligence interministériel espagnol (CICO), ont renforcé leurs capacités d'analyse. La création du SIRASCO complète le dispositif répressif français en permettant aux différentes administrations de mettre en réseau leurs informations et de les enrichir ensemble.

3 Questions à…
Dimitri Zoulas est à la tête du service d'information, de renseignement et d'analyse stratégique sur la criminalité organisée (SIRASCO).

Civique : Le rapport annuel du SIRASCO relève « la structuration de certaines bandes de cités en véritables entreprises criminelles ». Quelle est la situation ?
Dimitri Zoulas : Ce phénomène est constaté par les services de la DCPJ sur l'ensemble du territoire. Lié au développement du trafic de résine de cannabis importé du Maroc, il représente la principale source de revenus criminels alimentant l'économie souterraine en périphérie des agglomérations. Plusieurs dizaines de groupes criminels organisent des importations massives de résine de cannabis marocain vers l'Espagne. De là se ravitaillent des équipes intermédiaires qui fournissent le marché français, dont la consommation est estimée à 300 tonnes par an, pour un « chiffre d'affaires » avoisinant le milliard et demi d'euros. Les enjeux de ce trafic engendrent des rivalités. Le potentiel de violence de ces groupes, composé d'individus jeunes et déterminés, est aggravé par la possession d'armes de guerre. De ce fait, la coopération avec l'Espagne est très forte et les relations avec le Maroc ont été largement renforcées afin de mieux combattre ce trafic de drogue.

Civique : Comment s'organise le grand banditisme français ?
Dimitri Zoulas : Si les voyous de la banlieue sud n'occupent plus le devant de la scène, les organisations criminelles corses sont pérennes : la recomposition du milieu s'est accentuée en 2009 avec vingt et un règlements de comptes dans l'île de Beauté. De même, la région de Marseille abrite des parrains, souvent associés aux Corses, historiquement impliqués dans les braquages de fourgons, le trafic de stupéfiants, le racket, l'exploitation de machine à sous et les règlements de comptes. Il convient d'ajouter au titre du grand banditisme traditionnel les extensions du milieu marseillais dans la région de Montpellier et de Nice, ainsi que les activités de certains membres du milieu lyonnais ou grenoblois, néanmoins supplantés par des groupes plus jeunes issus des banlieues. Enfin, plusieurs groupes criminels issus de la communauté des gens du voyage implantés en région parisienne font partie du grand banditisme.

Civique : Qu'en est-il des mafias étrangères ?
Dimitri Zoulas : Plusieurs oligarques ou chefs de clan russes, géorgiens ou arméniens séjournent régulièrement en France ou y possèdent des biens immobiliers, à Paris ou sur la Côte d'Azur. Certaines rivalités donnent lieu à des règlements de comptes en France, ces violences s'inscrivant dans un contexte international. Quelques mafieux italiens sont intégrés au tissu économique et social français. Implantés en région PACA, parfois associés aux milieux français, ils sont actifs dans certains secteurs économiques : bâtiment et immobilier (blanchiment, corruption), distribution, restauration, opérations immobilières. Si l'activité de membres des triades chinoises en France n'est pas judiciairement démontrée, de nombreux groupes criminels agissent dans le domaine du trafic d'êtres humains, y compris la prostitution asiatique, en plein développement, la contrefaçon, le blanchiment, la cybercriminalité. Les organisations balkaniques sont très impliquées dans les trafics d'armes, de produits contrefaits, de stupéfiants, notamment les mafias albanaises, ou d'êtres humains. Une partie des groupes criminels est issue des « Roms » ayant récemment migré de Roumanie, de Bulgarie ou des Balkans occidentaux.

Source : Magazine Civique octobre 2010
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/articles-civique/nouveau-service-lutte-anti-mafia/view


Des policiers stratèges contre les mafias, Posté le dimanche 20 mars 2011 11:54

Des policiers stratèges contre les mafias

Mots clés : mafias, Sirasco

Par Christophe Cornevin
11/03/2011 | Mise à jour : 21:25 Réactions (19)
Saisie d'armes à Marseille, en novembre dernier. Le Sirasco s'efforce de suivrede près les organisations internationales spécialisées dans la drogue, les trafics d'armes ou la traite des êtres humains. Crédits photo : GERARD JULIEN/AFP
Le service de renseignements sur la criminalité organisée recense 25.000 noms d'individus ou sociétés suspects.

La lutte contre les mafias, triades et autres gangs qui écument la France ne se joue plus uniquement l'arme au poing et les menottes au ceinturon. Dans la plus grande discrétion, le ministère de l'Intérieur s'est doté depuis septembre 2009 d'un service d'intelligence criminelle à la française visant à passer au crible, une à une, les organisations d'envergure internationale versées dans la drogue, les trafics d'armes ou encore la traite des êtres humains. Mission? Détecter leur stratégie et imaginer de nouvelles ripostes répressives.

Installé au cœur de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), à Nanterre (Hauts-de-Seine), le Service d'information, de renseignement et d'analyse stratégique sur la criminalité organisée (Sirasco) sort pour la première fois des schémas classiques en traquant le crime non plus en fonction de spécialités, mais région par région, clan par clan, famille par famille, caïd par caïd. Issus de la police, de la gendarmerie mais aussi du contre-espionnage, les vingt enquêteurs qui composent cette unité sont tous accrédités au secret défense au regard des informations ultrasensibles qu'ils sont amenés à traiter. Car cette vigie policière d'un genre particulier centralise des données opérationnelles émanant de tous les services répressifs français, monégasques ou croates, mais aussi d'Interpol, de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), des Douanes ou encore des services fiscaux.

«Prendre l'information partout où elle se trouve»

«Nous nous focalisons sur les hommes, et dans une moindre mesure les femmes, qui composent les groupes, quelles que soient leurs spécialités, commente le commissaire Dimitri Zoulas, patron du Sirasco. Nous essayons de révéler des liens et de prévenir les futures menaces criminelles…» En dix-huit mois d'existence, ce service a créé une précieuse base de données baptisée Vasco, désormais alimentée par quelque 25.000 noms d'individus ou de sociétés qui menacent le pays d'une manière ou d'une autre. Tous les services viennent y piocher de l'information, agrémentée de photos, sur les bandes corses de la Brise de Mer ou du Petit Bar, sur les figures du grand banditisme retranchées le long d'une colonne vertébrale allant de Lille à Ajaccio, en passant par Marseille et Lyon .

«Nous ne nous intéressons pas au petit trafiquant qui va ramener cent kilos de “stups” dans sa cité de Nanterre, décrit le commissaire Zoulas. Nous suivons des gens tout droit sortis du film La Haine et qui se sont hissés en haut de la pyramide, à la tête de structures transnationales capables d'importer trois ou quatre tonnes de marchandise en passant quelques coups de fil.» Selon nos informations, plus de cinquante équipes de ce type ont été identifiées entre la France, l'Espagne et bien sûr le Maroc. Toutes ont eu une part considérable dans l'importation de 250 tonnes de cannabis l'an dernier et dans la production des 50 tonnes d'herbe cultivées dans l'Hexagone, pour un chiffre d'affaire global situé entre 1 et 1,5 milliard d'euros réinvestis dans des SCI chypriotes, des affaires au Maghreb ou de l'immobilier de luxe à Dubaï.

Outre les gangs africains et la nébuleuse asiatique, et en particulier les bandes chinoises qui tissent actuellement des filières de proxénétisme en France, le Sirasco s'intéresse beaucoup aux gangs de voleurs et de «casseurs» issus des Balkans. En outre, il déshabille jour après jour la pègre albanophone dont les membres sont des «semi-grossistes» dans les trafics d'héroïne et de cigarettes. Environ 150 d'entre eux sont sous les verrous. Ayant déjà fourni une quinzaine de «notes vertes» dites «d'analyse stratégique de la menace» et 80 «notes blanches» «d'analyse opérationnelle ou de renseignement», le Sirasco vient d'affiner sa connaissance de la criminalité africaine en décryptant 36 filières nigérianes de proxénétisme entre 2006 et 2010.

Concentrés sur trois ou quatre groupes mafieux russophones, l'unité intelligence criminelle dépêche, en accord avec l'administration pénitentiaire, des limiers spécialisés dans le «traitement des sources» afin de recueillir les confidences d'une sélection de détenus qui connaissent le milieu sur le bout des doigts. «On leur propose de discuter, au cas par cas, confie un policier. Le but du jeu est de prendre l'information partout où elle se trouve…»

LIRE AUSSI :

» L'UE démunie face aux mafias

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Par Christophe Cornevin
GRAND REPORTER, LE FIGARO
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/03/11/01016-20110311ARTFIG00700-des-policiers-strateges-contre-les-mafias.php voila comment quand ont ouvrent la bouche ont se couche


Autonomie de Saint-Martin et de Saint-Barth les craintes dun rapport officiel, Posté le mercredi 16 mars 2011 14:43

Autonomie de Saint-Martin et de Saint-Barth’ : les craintes d’un rapport officiel
lundi 2 juillet 2007 par marieagnes

La Tribune.fr - 02/07/07 à 11:53 - 575 mots

Paradis fiscaux

Autonomie de Saint-Martin et de Saint-Barth’ : les craintes d’un rapport officiel

En 1999, un rapport remis au secrétaire d’Etat à l’Outre-mer, rejetait l’idée d’autonomie pour ces îles des Antilles, par crainte de voir Saint-Martin se transformer en paradis fiscal. Hier, pourtant, s’est déroulé le premier tour des premières élections territoriales des nouvelles collectivités autonomes.

En toute discrétion, les premières élections territoriales se sont déroulées ce dimanche 1er juillet 2007, à Saint-Barthélemy et Saint-Martin, îles paradisiaques des Antilles françaises. Ce scrutin est la première étape de la séparation de ces paradis du département de la Guadeloupe.

Bruno Magras (UMP) a été élu au premier tour président de la nouvelle collectivité d’Outremer de Saint-Barthélemy. A Saint-Martin, un deuxième tour devra être organisé le 8 juillet 2007 pour départager deux candidats arrivés en tête. Dès le 9 juillet, les deux îles obtiendront un statut de large autonomie.

Or, c’est bien là que le bât blesse, et que derrière la façade ensoleillée, toute de luxe de calme et de volupté, se profile au moins pour Saint-Martin, un avenir plus obscur. Aujourd’hui, L’absence de contrôle étatique a déjà transformé l’île en un vrai paradis fiscal, au sens premier du terme. C’est le constat d’un rapport de François Seners, maître des requêtes au Conseil d’Etat dans un rapport remis en décembre 1999 au secrétaire d’Etat à l’Outre-mer.

Les impôts nationaux : "les fonctionnaires de l’île [de Saint-Martin] qui étaient les seuls à payer l’impôts sur le revenu, ont décidé de cesser de remplir leurs déclarations".

Les droits de douanes : "Saint-Martin et Saint-Barthélemy sont en situation reconnue d’extra-territorialité".

Les impôts indirects : "l’état de droit applicable n’est pas d’une absolue clarté".

En revanche, selon les professionnels de l’île, "les taxes d’habitations, taxes foncières et taxes professionnelles ne font l’objet d’aucune contestation et sont normalement acquittées".

Voilà pour l’existant. Quant à demain, les perspectives d’autonomie de l’île de Saint-Martin font frémir. "Il n’existe à vrai dire qu’une seule hypothèse plausible de financement local [de l’île de Saint-Martin] : c’est celle qui repose sur la création d’une place financière off-shore attirant sur l’île, à l’image de ce qui se fait dans d’autres paradis antillais, des entreprises et capitaux du monde entier".

Saint-Martin se transformerait en une vaste plate-forme financière accueillant les capitaux tirés du blanchiment d’argent de la drogue et de la corruption. L’île de Saint-Martin est le seul espace monétaire commun à l’euro et au dollar.

Logiquement, en raison des engagements de la France en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, "une telle hypothèse est absolument exclue. Pour ces motifs, il ne peut être envisagé de donner à Saint-Martin à brève échéance un statut de plus grande autonomie administrative".

Les sages conclusions de ce rapport ont été oubliées. Aujourd’hui, le territoire de Saint-Martin, devenu autonome, cohabite sur la même île avec Sint-Marteens, partie hollandaise, qui, écrit François Seners, "s’est délibérément ouverte aux activités financières ou de services off shore". Saint-Martin se trouve à une heure d’avion des autres paradis fiscaux des Antilles. A peine plus loin, la Colombie ou le Mexique et leurs cartels de la drogue.

Pascal Junghans

Source url de l’article

http://www.paradisfj.info/spip.php?article737


Comment les mafias gangrènent l économie mondiale, Posté le mercredi 16 mars 2011 14:27

La corruption à l’assaut des Etats

Comment les mafias gangrènent l’ économie mondiale


Les services discrets des paradis fiscaux

Des capitaux considérables, provenant d’activités légales et criminelles, sont aussi déposés aux Bahamas, dans les îles Vierges britanniques, aux Bermudes et à Saint-Martin - pour ne rien dire des places du Pacifique et de l’océan Indien, avec Vanuatu, les îles Cook et l’île Maurice.




http://www.monde-diplomatique.fr/1996/12/CHOSSUDOVSKY/7464


lîle de Saint-Martin dans son rôle de plaque tournante de la drogue.Saint-Martin et Saint-Barthélemy, Posté le mardi 15 mars 2011 08:36

Coopération internationale contre narcotrafiquants / PATUREL J. C.PublicISBDAucun avis sur cette notice.Titre : Coopération internationale contre narcotrafiquants
: (International cooperation against drugtraffickers)
Périodique
Auteurs : PATUREL J. C.
année 1997
Importance : 26-29
Note générale : Revue de la Gendarmerie Nationale, 1997, (183), 26-29

Langues : Français (fre)
Catégories : Thésaurus TOXIBASE
TRAFIC INTERNATIONAL ; COCAINE ; CRACK ; CULTURE ; HEROINE
Thésaurus Géographique
ANTILLES ; CARAIBES

Index. décimale : MAR Marché de la drogue / Drug market
Résumé : FRANÇAIS :
La zone de l'arc caribéen est traversée par un flux important de drogues dures , telles que la cocaïne et depuis peu l'héroïne. Produites massivement par les cartels colombiens d'Amérique du sud, elles sont destinées aux consommateurs d'Europe et d'Amérique du nord. Longtemps épargnés par ce trafic international, les trois départements français d'Amérique n'étaient jusqu'à présent concernés que par la consommation "traditionnelle" du cannabis. Mais désormais, le "crack" se répand aux Antilles-Guyane et vient menacer la stabilité des sociétés fragiles et déjà éprouvées par un fort taux de chômage chez les jeunes. Dans le même temps, les trafiquants colombiens tendent à privilégier la "route des Petites Antilles" et contribuent ainsi à renforcer l'île de Saint-Martin dans son rôle de plaque tournante de la drogue. La gendarmerie se trouve engagée sur un double front : d'une part, au plan local, contre le deale et la consommation de drogue et d'autre part, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy, contre les narcotrafiquants. (Résumé de la revue)
Permalink : http://bdoc.ofdt.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62579
Domaine Toxibase : Drogues illicites. Illicit drugs.
Affiliation : France. France.
Numéro Toxibase : 303110
Centre Emetteur : 03 Didro
Cote :

http://bdoc.ofdt.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62579


nono, Posté le mercredi 09 mars 2011 20:49

La couscous connection est le nom donné à un trafic international de stupéfiants et de blanchiment d'argent qui se déroula pendant les années 1980.

En janvier 1989, des hommes de la brigade des stupéfiants parisienne reçoivent des informations d'un indicateur quant à l'existence d'un trafic d'héroïne dans les rues du quartier de Belleville[1]. Les filatures conduisent à l'ouverture d'une information judiciaire ouvrant la voie à une surveillance téléphonique qui permet l'identification de Samir Kardi et de sa compagne Rosa Jendoubi[1]. Le 20 avril, celle-ci part s'approvisionner en Belgique et une perquisition menée le lendemain permet la découverte de 180 grammes d'héroïne, d'un faux permis de conduire néerlandais, d'une arme, de reçus de la Caisse d'épargne pour des versements de 85 000 francs français et d'un lot de factures pour des bijoux[1].

D'autres investigations mènent à Rachid Haddad, lui aussi chargé du transport de la marchandise depuis Amsterdam et connu de la brigade, puis à Fathi Oueslati, l'un des frères Roma qui tiennent le marché de la drogue à Belleville[1]. Le 26 février 1990, la brigade identifie Hedi Ben Hassen, qui se trouve être le neveu de Frej Guedoura, alors chef des services spéciaux et de la sécurité nationale tunisienne, et Habib Ben Ali, frère aîné[2] du président de la République tunisienne[1]. C'est à Orly-Sud que Ben Hassen est arrêté mais Ben Ali parvient à quitter le territoire après avoir présenté un passeport diplomatique et fait état de son lien de parenté avec le président[1].

Les troisième et quatrième réseaux tombent avec d'autres collecteurs de fonds. À chaque fois, des quantités d'héroïne de 150 à 500 grammes et des centaines de milliers de francs sont retrouvés[1]. Il sera établi que les fonds rapatriés en Tunisie se retrouvaient dans la comptabilité d'entreprises de matériel informatique et d'articles de sports, de restaurants et de commerces ou placés auprès de banques tunisiennes sans être déclarés[1]. Par ailleurs, des centaines de millions de francs auraient été investis dans l'immobilier et le tourisme de luxe.

Au terme du procès, Habib Ben Ali est condamné par contumace le 30 novembre 1992 à dix ans de prison et à l'interdiction définitive d'accès au territoire français par la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris[3]. Il lui est reproché d'avoir transporté de l'argent provenant d'un trafic international d'héroïne et de cocaïne entre les Pays-Bas, la France et la Tunisie[1],[4] alors que son avocat, Me Jean-Yves Leborgne, dénonce une « manipulation politique » répétant qu'il n'avait « aucune preuve matérielle » que son client ait participé au « blanchiment » d'argent[5]. Celui-ci ne s'étant pas présenté lors de son procès qui avait débuté le 17 novembre[6], il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international lancé par Interpol jusqu'à sa mort en 1996.

23 autres personnes, en majorité des Tunisiens, sont également condamnées à des peines diverses.


spak, Posté le mercredi 09 mars 2011 20:47

Tu oublie de métre la mafia Tunisienne qui régné sur Belleville dans les années 80-90 ce clan de Tunisiens kon surnommait les rois de l’héroïne On les appelait les frères Roma un des plus gros réseaux de trafic d’héroïne et de cocaïne qui alimenté une grosse partie de la région parisienne a son époque.

La drogue de Belleville mène à la mafia

Le jour où des policiers de la brigade des stups prennent en filature des dealers d’un quartier de Paris, sans doute n’imaginent-ils pas que la filière remontera jusqu’au frère du président de la République tunisienne, et à un blanchiment qui porte l’empreinte mafieuse. Révélations

ON les surnommait les rois de l’héroïne. On les appelait les frères Roma. Ils sont six. Quatre se retrouvent aujourd’hui devant la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Les deux autres sont en fuite, mandats d’arrêt international aux talons. Belleville était leur fief. Quartier général d’une entreprise souterraine, spécialisée dans l’achat, l’importation et la revente de la drogue. La dure. Celle qui tue et rapporte gros à une bonne trentaine d’employés. Chacun a un boulot précis. On en comptera vingt-cinq dans le box des accusés, au moment où s’ouvrira leur procès pour trafic de stupéfiants.

Sans compter les absents. Car on va beaucoup en parler des absents. Surtout un certain Habib Ben Ali, jugé par contumace. Car lui aussi est en fuite, lui aussi est poursuivi par un mandat d’arrêt international. Mais dans son petit malheur, Habib Ben Ali a eu la grande chance d’avoir pour frère un certain Abidine Ben Ali, président de la République tunisienne, et pour sauf-conduit un passeport diplomatique délivré par le Quai d’Orsay.

Qui pouvait imaginer qu’un simple renseignement d’indicateur de police allait être le point de départ du démantèlement d’un des plus gros réseaux de trafic d’héroïne et de cocaïne ? Ce jour de janvier 1989, des hommes de Joëlle Pontnau, une femme commissaire divisionnaire à la brigade des stupéfiants, marchent dans les rues de Belleville. La routine.

Routine aussi de recevoir le tuyau d’un informateur. Mais celui-là est consistant. L’héroïne qui circule à Belleville vient d’Amsterdam. Trois revendeurs sont signalés. Les filatures se mettent en place. Les véhicules suivis sont toujours des voitures de location, et la location est toujours payée en espèces. Les indices s’accumulent. Les lieux sont repérés. Les allées et venues se concentrent autour d’un immeuble de la rue Rouanet, dans le 18e arrondissement. L’ouverture d’une information judiciaire permet aux enquêteurs d’obtenir une surveillance téléphonique légale. Plusieurs enregistrements annoncent des voyages en perspective. Les noms tombent : Samir Kardi, un tunisien de trente-trois ans, et sa compagne, Rosa Jendoubi, dite Samira, une lyonnaise de trente-trois ans.

Le 20 avril 1989, Rosa Jendoubi est au volant d’une R5. Direction Bruxelles. Elle attend 19 heures et la fermeture du poste frontière de Baisieux pour entrer en Belgique. Les policiers des stups la suivent. Et la perdent. Mais ils sont certains qu’elle est venue s’approvisionner. La vérification a lieu le lendemain, dans l’appartement de la rue Rouanet. Une perquisition qui décroche le gros lot : 180 grammes d’héroïne, un faux permis de conduire hollandais, une 22 Long Rifle à canon et crosse sciés, des reçus de la Caisse d’épargne pour des versements en espèces de 85.000 francs, un lot de factures d’achats de bijoux. Les aller et retour auprès des fournisseurs belges et hollandais assurent à Samir et Rosa un train de vie confortable. Devant le magistrat instructeur, elle devra également justifier l’achat d’une Porsche, d’un vison et d’autres bijoux. Toujours en espèces.

Mais cette première prise a mis les policiers en appétit. Ils sont persuadés que ce n’est qu’un maillon. Ils veulent toute la chaîne. Ils continuent de secouer le cocotier et tombent sur un certain Rachid Haddad, alias Rochdi, qui déclare se nommer Aldo Fontana, qui est également connu dans les fichiers des stups sous le nom de Tonio Marotti. Trois identités pour un seul homme. Et un carnet téléphonique où un numéro souligné en rouge s’avèrera être celui d’un proche d’une haute personnalité politique tunisienne. Déjà.

Mais la chaîne se démonte maillon après maillon. Haddad en est un. Lui aussi chargé du fret. Lui aussi a pris ses habitudes à l’hôtel La Cascade, à Saint-Gil Bruxelles, et à l’Holliday Inn d’Amsterdam. Lui aussi passe tranquillement les frontières du Nord, à bord de voitures de location bourrées d’héroïne. Lui aussi a la maladie du téléphone, redoutable quand l’appareil est sur écoute.

Nouveaux numéros et nouvelles filatures. Jusqu’à ce que les enquêteurs du divisionnaire Joëlle Pontnau établissent un lien entre les premières arrestations, les premières perquisitions, et un certain Fathi Oueslati, l’un des frères Roma, les rois de la blanche (l’héroïne) ou du fanta (la cocaïne) comme on les appelle encore à Belleville. Le puzzle prend forme. Le réseau est très structuré. La drogue ne rapporte que si tous les rouages fonctionnent. Les importateurs sont tombés. Il reste maintenant à trouver les revendeurs, les collecteurs de fonds, leurs transporteurs et destinataires. Et à comprendre le pourquoi de ce numéro de téléphone souligné en rouge.

La chance des policiers est d’espérer tenir dans la structure familiale des frères Roma, le fil qu’il va falloir tirer pour remonter à la tête. Les surveillances sont serrées. Presque sans surprise, elles mènent à pointer un café de la rue Jean-Jaurès, dans le 19e, connu pour être un rendez-vous de gros dealers. Et Fathi Oueslati, l’un des six frères, le fréquente beaucoup. Téléphone beaucoup. Numéro par numéro, adresse par adresse, le deuxième réseau, celui qui doit stocker et revendre la drogue, est localisé : deux bars des 18e et 19e arrondissements, des planques à Sarcelles, Villepinte, Tremblay. La « garde » d’un paquet d’héroïne est payée 5.000 francs. Le bénéfice de la revente est fixé à 20% pour le dealer, 80% pour le fournisseur.

Les détails et les éléments s’accumulent. Les hommes des stups pourraient s’estimer satisfaits d’avoir mis la main sur plusieurs kilos d’héroïne, et d’avoir envoyé au trou une bonne dizaine de trafiquants. Mais le puzzle n’est pas complet. Il manque les principaux collecteurs de fonds, les passeurs de valises pleines de liasses, l’argent ramassé dans les rues de Paris, dans les cités HLM de banlieue, devant ces cages d’escalier où un matin, une nuit, on découvre le corps refroidi d’un toxicomane.

Au début de l’année 199O, les enquêteurs ne lâchent pas Fathi Oueslati d’une semelle. La persévérance est récompensée. Le 26 février 1990, la piste Oueslati mène jusqu’à une Volkswagen Polo stationnée près de l’hôtel Edouard-VII, avenue de l’Opéra. L’homme qui conduit s’appelle Hedi Ben Hassen, surnommé « Bouldogue », très connu en Tunisie pour être le neveu de Frej Guedoura, le chef des services spéciaux et de la sécurité nationale. L’homme qui se tient au côté de « Bouldogue » s’appelle Habib Ben Ali, dit Moncef, très connu en Tunisie pour être le frère du président de la République.

Le 27 février 1990, Ben Ali et plusieurs personnes quittent l’hôtel Edouard-VII à bord de trois voitures. Les policiers savent que parmi les bagages se trouve une valise achetée la veille boulevard Ornano, sans aucun doute pour transporter une somme importante. A l’aéroport Orly-Sud, « Bouldogue » et Ben Ali s’installent dans un salon privé d’Air France. Au moment où une partie du groupe s’apprête à embarquer à bord d’un avion de Tunis Air, les policiers tentent le gros coup de filet. « Bouldogue » et un second couteau tombent. Mais Ben Ali exhibe un passeport diplomatique et fait état de son lien de parenté avec le président Ben Ali.

On découvrira plus tard que cette immunité ne s’appliquait pas au territoire français. On en conclura que le Quai d’Orsay a fait preuve de beaucoup de bienveillance. On avancera également qu’en échange de ce service rendu au président Ben Ali, la France obtiendra de la Tunisie qu’elle intervienne auprès de la Lybie pour faciliter les investigations du juge Bruguière, dans l’affaire de l’attentat contre un DC-10 d’UTA.

Ce 27 février 1990, les enquêteurs ont compris qu’ils ne reverront plus Habib Ben Ali. Ils parviendront pourtant à démanteler les troisième et quatrième réseaux de cette filière Bruxelles - Amsterdam - Paris - Tunis. Ils feront tomber d’autres collecteurs de fonds dans le 15e arrondissement de Paris, dans un hôtel de Nice et un appartement de Tremblay. Et chaque fois des quantités d’héroïne qui vont de 150 à 500 grammes, chaque fois des sommes d’argent considérables, à tel point que les trafiquants ont la désinvolture d’entasser 170.000 francs dans une boîte à chaussures, et 180.000 francs dans un sac à main.

Le quatrième et dernier réseau, celui du blanchiment de l’argent sale, ne sera décapité qu’en partie. Il sera bien établi que les fonds rapatriés en Tunisie se retrouvaient notamment dans la comptabilité d’entreprises de matériel informatique et d’articles de sports, de restaurants et de commerces. Il ressortira également de plusieurs écoutes téléphoniques que des placements directs ont été effectués auprès de banques tunisiennes, sans être déclarés, alors qu’une loi oblige à le faire pour tout dépôt supérieur à 3.000 francs. Il s’avérera également certain que ces centaines de millions de francs de revenus de la drogue ont été massivement investis dans l’immobilier et le tourisme de luxe, sur le modèle de la mafia italienne, implantée en Tunisie sous l’autorité de Bruno de Angelis, et de Gian Carlo Parretti, autre chef de la « pieuvre », arrêté à l’aéroport de Rome le jour où il embarque dans un avion à destination de Tunis.

Que restera-t-il de cette toile d’araignée criminelle, financière et politique, aujourd’hui, devant le tribunal correctionnel de Paris ? Vingt-cinq trafiquants jugés pour infraction à la législation sur les stupéfiants. Et beaucoup d’absents.

Gilles Smadja

"L'Humanité", 16/11/1992


lunik-parrain, Posté le lundi 14 février 2011 08:24

à propos des truands juifs pieds-noirs, ça fait longtemps qu'il y en a plus, dans les années 80 ils étaient tous soit morts, soit rangés, soit vieillissants, et aucune génération n'a pris la relève.

La place Stalingrad c'est juste des dealers de second rang qui se fournissent principalement dans le 93 (du côté de Stains notamment, voir mon article). Les bars à hôtesse de Pigalle ne sont plus tenus par le milieu, comme l'énorme majorité de la prostitution en général. Les Asiatiques c'est un milieu fermé qui fonctionne en vase clos, sans lien avec le milieu français. Quand aux "grandes mafias" elles n'ont pas autant de poids en France que ce que certains voudraient croire, sauf les mecs de l'est qui font dans la prostitution, mais peut-on réellement parler de mafia à leur sujet?


gta-fan, Posté le lundi 14 février 2011 02:59

Ouais d'accord, mais à part les Corses, les Gitans et les deux/trois grosses équipes de banlieue qui se partagent la capitale, y'a personne d'autre? Que sont devenus les truands Juifs/Pieds-Noirs du 9ème? Ils ont quand-même fait la renommée du milieu parisien (à l'époque des Zemmour, du gang des Postiches etc.). Et le milieu franco-asiatique du 13ème et de Belleville? Et les réseaux de crack de la Place Stalingrad? Et les bars à hôtesses de Pigalle ? Et les grandes mafias (russes, calabraises etc.) ? Quand-même, ca en fait des choses ! On en entend jamais parler ! C'est un peu tous ça que j'aimerais savoir. Parce que Paris est quand-même une très grosse ville, comme New-York et Londres, et leurs diverses mafias et gangs, on en entend tout le temps parler!!! Mais merci quand-même pour les infos romain et ntone, j'ai quand même appris des trucs.


ntone, Posté le jeudi 13 janvier 2011 12:20

À Paris, les Corses sont surtout dans le business des cercles de jeux et dans deux trois affaires par-ci par-là (bars/ restos chics etc.), mais à part ça ils sont plutôt discrets et font leurs trucs de leurs côté. Ils n'ont donc aucune raison de "bien se tenir", puisqu'ils ne sont pas spécialement menacés par d'autres équipes (ils font même parfois des affaires avec d'autres bandes etc.).


romain, Posté le mercredi 08 décembre 2010 20:04

GTA- FAN , y en a quelque un qui sont entrain de s'imposait a Paris et sa ne fait pas plaisir a certain grand nom et vieille personne du grand banditisme comme les Hornec , je peux t en cité déjà 2 Malik Tlemçani de Montfermeil qui est entrain de récupérer la majorité des bar a prostitué et un autre un jeune tunisien qui est entrain de monté férocement amarie radhouane de epinay sur seine , les deux sont placé aussi dans les machines a sous , et sur els mec de cité qui parle les hornec veulent les réunir pour calmé les choses mais un des deux déjà n apprécie pas trop les Hornec du a un different avec un de leur cousin , ce que je peux d or et deja dire c ets que les nord africain commence a s impose et a monté en puissance d ailleur les Corse n en qu a bien se tenir


gta-fan, Posté le mardi 09 novembre 2010 05:51

Salut, je m'intéresse un peu aux histoires du milieu comme toi et je me demandais si tu en savait un peu plus sur le Milieu dans Paris intra-muros d'aujourd'hui, parce que on ne sait pas grand chose sur ca et ca reste très discret. Je sais juste que le clan des gitans de Montreuil et leurs alliés ont (ou avaient) plusieurs affaires dans la ville même. J'ai aussi lu quelque part que le milieu corse aurait récupéré des intérêts dans le quartier de l'Étoile après la mort du Belge. Mais à part ca, pas grand chose. Pigalle, par exemple, avec ses boites de strip-tease, ses boites de nuits, ses bars à hôtesses! N'y a-t-il vraiment plus d'enjeux dans ce quartier pour le milieu? (quand-même, il doit bien rester un ou deux voyous corses, gitans et maghrébins). Je parle de Pigalle, mais il y'a aussi Barbès, le Faubourg-Montmartre, Stalingrad, tous ces quartiers qui étaient autrefois des places fortes pour les truands, qu'en est-il aujourd'hui? Y'a-t-il des héritiers dans certains de ces quartiers? Voilà c'est tous ce que je voulais savoir, si tu as une réponse. Et bravo pour ton blog, il est très réussi. Continue.


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